• Le ridicule TUE 50 millions d'animaux par an : nouvelle campagne contre la fourrure de la Fondation Brigitte Bardot.

    Chaque année, 50 millions d’animaux sont tués, au nom de la mode, pour le commerce de la fourrure. 85 % d’entre eux proviennent d’élevages. Ils sont électrocutés, gazés ou frappés à mort. Aujourd’hui, la fourrure tend à se démocratiser. La Chine, qui en est le premier exportateur au monde, n’a aucune loi de protection des animaux.


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  • LA FONDATION BRIGITTE BARDOT PORTE PLAINTE AUPRES DU JURY DE DEONTOLOGIE PUBLICITAIRE CONTRE LA CAMPAGNE RADIOPHONIQUE DU CENTRE D’INFORMATION DES VIANDES

    Sous le titre « soyons Fermes »¹, le CIV tente actuellement de présenter la production française comme étant issue d’une agriculture « familiale », respectueuse des animaux et de l’environnement. Des spots radiophoniques jugés mensongers et malhonnêtes par la FBB.

    Elevage de porcs
    Dans le spot « Pourquoi l’élevage des porcs est familial en France ? », il est dit que l’élevage des porcs en France n’est pas industriel mais familial… Or, plus de 90 % des élevages porcins en France se pratiquent en bâtiment, sur caillebotis. Ces animaux, qui ont subi une caudectomie et une castration à vif, ne sortiront de leur hangar qu’au moment de partir vers l’abattoir. Il est donc malhonnête de présenter de manière bucolique un élevage intensif, totalement déshumanisé.

     

    Elevage de Veaux
    Dans le spot « Aujourd’hui comment les veaux sont-ils élevés ? », il est dit que la couleur blanche de la viande (production française) est obtenue par une alimentation à base de produits laitiers parfaitement adaptée aux besoins des veaux…
    Ceci est totalement faux car après avoir été retiré à sa mère, le veau est nourri avec un mélange liquide pauvre en fer qui permet d’obtenir cette couleur anormalement claire de la viande. Le jeune animal anémié est aussi privé de l’alimentation solide dont il a besoin dès sa deuxième semaine et pour éviter que sa viande devienne rouge, ce ruminant élevé sur caillebotis n’a pas droit à l’herbe (trop riche en fer).

    Là encore, les propos du spot sont mensongers car, ne pouvant s’alimenter avec une nourriture adaptée à ses besoins, le veau est victime d’un développement anormal du rumen qui constitue une grave entrave à son bien-être.

    Impact de la viande sur les humains, les animaux et l’environnement,
    informez-vous sur viande info :
    http://www.viande.info/

    Elevage de Bovins
    Tout aussi scandaleux, le spot « Quel est l’impact de l’élevage bovin sur l’environnement » où il est dit qu’en broutant de l’herbe « nos vaches maintiennent les prairies, ce qui permet le stockage de carbone dans le sol… comme les forêts ! ».

    Bon pour l’environnement l’élevage ? Dans son rapport « l’élevage aussi est une menace pour l’environnement », l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) indique que le secteur de l’élevage émet des gaz à effet de serre qui sont plus élevés que ceux produits par les transports (toutes catégories confondues). Le secteur représente, en outre, respectivement 37 % de tout le méthane dû aux activités humaines (agissant sur le réchauffement 23 fois plus que le CO2), en grande partie produit par le système digestif des ruminants, et 64 % de l’ammoniac qui contribue aux pluies acides. L’élevage est aussi responsable de l’appauvrissement des sols et de la mise en péril des réserves naturelles d’eau puisque la production d’un seul kilo de bœuf nécessite 323 m² de pâturages, 7 à 16 kilos de grains ou fèves de soja et jusqu’à 15 500 litres d’eau !

    Le secteur de l’élevage a donc une incidence directe sur le réchauffement climatique, la pollution des sols, des nappes phréatiques, et représente un terrible gaspillage puisque près d’un tiers des céréales produites mondialement est destiné à nourrir les animaux pour la production de viande.


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  • Une chasse à courre ravage un milieu naturel sensible en Plaine de Sorques.

    La mise à mort d’un cerf sur la plaine de Sorques a suscité de vives réactions de désapprobation de la part de plusieurs témoins choqués par cette scène et qui ont alerté la Fondation Brigitte Bardot.

    En effet, un tel incident est tout à fait inimaginable sur un site classé ENS (Espace Naturel Sensible) où la réglementation est très stricte et vise essentiellement à protéger la faune et la flore sauvages de notre patrimoine.


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  • Les daims du domaine de Chantilly qui devaient être abattus sont désormais hors de danger.

    Début octobre, la Fondation Brigitte Bardot est contactée afin d’empêcher l’abattage des daims vivants sur le domaine de Chantilly. Le personnel du domaine, qui compte environ 200 personnes, s’oppose à la décision d’abattage diligentée par la direction en faisant signer une pétition demandant qu’une solution plus humaine soit trouvée mais sans succès…

    En effet, 4 daims sont abattus. En désespoir de cause, la Fondation Brigitte Bardot est appelée au secours pour sauver les daims restants.

    Pourtant il existe des solutions comme la stérilisation des individus mâles et l’aménagement d’enclos spacieux. Cette décision est d’autant plus incompréhensible que c’est le Domaine qui a lui-même introduit ces daims pour agrémenter le site il y a quelques années.


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  • Alsace Oeufs le scandale : l'état Français néglige les contrôles dans les élevages industriels !

    La situation dramatique, révélée dans le Haut-Rhin, où 140 000 poules de l’élevage industriel « Alsace Œufs » ont été laissées sans nourriture, par le responsable du site, témoigne une fois de plus des trop faibles moyens donnés aux services vétérinaires pour contrôler les élevages et les lieux d’abattage des animaux sacrifiés pour la consommation humaine.

    Dans ce cas précis, la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) est intervenue en bout de chaîne pour mettre un terme à l’agonie des pauvres bêtes mais il aura fallu pour cela attendre des mois.

    Pour Brigitte Bardot « cette situation n’est plus tenable, que ce soit dans les élevages ou les abattoirs, les trop faibles moyens donnés aux services vétérinaires se traduisent par de très graves négligences qui touchent à la fois la protection animale mais aussi la santé humaine. »


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